Toulouse 2030» est une exposition autour des thèmes de l'architecture et de l'urbanisme. L'événement est ouvert au public jusqu'à dimanche, place du Capitole. L'objectif est de montrer

Imaginer la ville de demain Le 7 février a marqué la sortie d’un ouvrage collectif intitulé “Ville Makers 2019” initié par le directeur général de la banque LCL, Michel Mathieu. Son objectif ? Braquer le projecteur sur les acteurs qui changent la ville au quotidien à travers leurs initiatives originales qui répondent à un enjeu sociétal. En 2050, 6,5 milliards d’humains habiteront en ville. Face à l’immensité des enjeux qui s’accumulent dans des territoires métropolitains tentaculaires, une génération de Ville Makers » met en œuvre des solutions originales pour faire de la ville du XXIème siècle une ville verte, durable, inclusive et agréable. » Môm’artre a été choisie avec 9 autres porteurs de solutions pour parler de ses activités, et évoquer le fondement de son action une éducation artistique et citoyenne comme moyen d’éveiller chaque enfant à la créativité et au pouvoir d’agir, à son échelle. Notre force est de chercher à investir des lieux atypiques, avec deux objectifs ouvrir les enfants à la culture, mais aussi ouvrir la ville aux enfants. La ville de demain se doit d’être accueillante pour tous, les plus jeunes ne doivent plus y être des citoyens de seconde catégorie. Tous les lieux sont susceptibles d’accueillir des enfants, pour y susciter leur curiosité, leur soif d’échanges et de partage, sans compter que l’on finit toujours par toucher les parents. C’est ainsi qu’on transformera ce temps périscolaire en véritable temps citoyen, créatif et coopératif. » Chantal Mainguené, fondatrice de Môm’artre, dans Ville Makers 2019 » Môm’artre ou le pari d’investir des lieux atypiques En septembre 2019, deux nouvelles antennes Môm’artre verront le jour Môm’Bondy, en Seine-Saint-Denis, dans un local situé en gare ; et Môm’Italik, au cœur d’un nouveau centre commercial situé place d’Italie Paris 13. Ces deux nouvelles ouvertures sont des exemples de ce qu’imagine Môm’artre en tant que Ville Maker ». Les centres commerciaux Môm’artre est présente dans les centres commerciaux depuis 2014 avec Hammerson avec La Cabane, qui combine système de garderie et accueil Môm’artre sur les temps périscolaires aux Terrasses du Port à Marseille, à deux pas du quartier populaire de la Joliette. Septembre 2019 verra l’ouverture d’une antenne dans le nouveau centre commercial situé place d’Italie, Italik, selon une formule similaire. Les centres commerciaux sont désormais conçus comme un lieu de vie, de rencontres intergénérationnelles, sociales, culturelles, où un service d’accueil d’enfants est un vrai plus pour les usagers. Les promoteurs immobiliers Môm’artre est également sollicitée par les promoteurs qui conçoivent la ville de demain en accompagnant les rénovations urbaines et l’émergence de nouveaux quartiers, notamment avec Ceetrus ex-Immochan, ou encore dans le cadre de l’appel à projets “Réinventer Paris”. Des projets sont ainsi en cours d’élaboration, dans un centre commercial à Epinay-sur-Seine, et également à la Gare du Nord, dont la physionomie devrait grandement évoluer d’ici 2024. Les gares Dans l’optique de favoriser la vie quotidienne des familles, Réseau Môm’artre a inauguré une première antenne en gare à Argenteuil en septembre 2017, après avoir remporté le Challenge “Gares partagées” de Gares & Connexions. L’ouverture d’une antenne en gare de Bondy 93 est prévue pour la rentrée 2019. Les établissements culturels Depuis 2015, Réseau Môm’artre investit également les établissements culturels. Après une première expérimentation de plus de 2 ans au Théâtre des Bouffes du Nord, l’association a initié des partenariats avec d’autres lieux culturels emblématiques le Théâtre National de la Criée & la Friche La Belle de Mai à Marseille ; le Musée d’Arts à Nantes… autant d’initiatives atypiques qui décloisonnent ces institutions culturelles et les ancrent dans le quotidien des enfants et des familles. Liker Onpasse ainsi du BIM au CIM (City Information Modeling), maquette numérique à l'échelle non d'un bâtiment mais d'un quartier ou d'une ville, qui accompagne la prise de décision en matière d

Nous avons beaucoup de savoir-faire mais nous avons aussi beaucoup de mal à le faire savoir. » Ces mots résument à eux seuls l’ambition de tout un milieu, celui de l’artisanat. Et cette ambition n’en devient que plus concrète quand le lycée des métiers du bâtiment LMB de Felletin accueille et participe à la réalisation des deux maquettes de Notre-Dame de Paris impulsée par la région Nouvelle-Aquitaine et son président Alain Rousset. Cet objectif d’attirer les jeunes et les moins jeunes vers les métiers du bâtiment passe par des actes spectaculaires comme celui-ci. Il faut employer les grands moyens. » Alain Rousset au centre, président de la Région Nouvelle-Aquitaine a initié le projet Notre-Dame. Un lieu symbolique de l’école régionale du patrimoine De grands moyens également financiers, en témoigne l’enveloppe de 46,4 millions d’euros, annoncée en avril 2019, pour réaliser des travaux sur l’établissement creusois. Un investissement concrétisé, ce lundi 7 décembre, par la pose de la première pierre d’un futur tiers lieu devant le lycée. Ce n’est pas seulement de la réhabilitation, c’est un nouveau lycée que nous voulons. On a besoin de bâtir ce lycée pour le rapprocher du monde de l’entreprise et de la formation. On a besoin de témoigner, qu’aujourd’hui, un lycée au cœur de la Creuse peut-être attractif pour des Stéphanois, des Lyonnais ou des Parisiens. » Alain Rousset Président de la Région Nouvelle-Aquitaine Outre l’aspect technique, il en va aussi de la symbolique pour appuyer le statut du LMB de Felletin, fraîchement nommé incarnation de l’école régionale du patrimoine. Celle-ci a pour mission d’assurer la promotion de l’ensemble des filières de la rénovation et de la restauration du patrimoine classé et du patrimoine bâti. Les ateliers du LMB de Felletin vont connaître une restructuration dans les prochaines années. Le genre de choses qui nous font vibrer dans notre métier » Labellisé campus des métiers et des qualifications construction durable et éco-réhabilitation », le lycée felletinois sera donc le porte-étendard d’un ensemble de sites de formation ayant pour vocation de maintenir en état le patrimoine de la région mais aussi d’ailleurs, en témoigne le projet Notre-Dame. La Région investit 46 millions d'euros au LMB de Felletin Creuse pour faire quoi ? Et, pour les professionnels de demain, travailler sur ces chantiers relève d’un certain accomplissement personnel. C’est toujours super gratifiant de se dire qu’on va pouvoir travailler sur tel édifice ou tel bâtiment emblématique d’une ville. On a peut-être moins de liberté car il faut respecter l’histoire et le style de la structure mais, franchement, c’est le genre de choses qui nous font vibrer dans notre métier. » Jeanne Simonneau Future vitrailliste Des travaux pour une nouvelle dimension Pour mener à bien ce projet et ainsi entrer dans une nouvelle dimension, le LMB va connaître plusieurs travaux, financés par la Région, sur ses fondations. L’internat sera le premier à être modifié via un regroupement des chambres dans un même bâtiment dès le début de l’année 2021. La piscine et le cinéma feront l’objet d’une modernisation tandis qu’un hébergement pour des publics majeurs devrait être aménagé. Les élèves pourront associer la théorie et la pratique dans un même lieu. Mais le chantier le plus important concerne la restructuration des ateliers, comme le précise Frédéric Rivet, chef du service maîtrise d’ouvrage à la Région Nouvelle-Aquitaine. Aujourd’hui, on peut voir que tous les lycées professionnels tentent de rapprocher les salles de cours des ateliers. C’est aussi l’objectif à Felletin pour faciliter le passage de la théorie à la pratique tout en conservant le volume déjà construit. Nous sommes sur une architecture “patrimoine XXe siècle” donc nous ne toucherons pas à l’enveloppe. L’idée est d’avoir un maître d’œuvre pour l’été puis il devrait y avoir dix-huit mois d’études donc les travaux ne débuteront pas avant 2023. » Frédéric Rivet Chef du service maîtrise d'ouvrage à la Région Nouvelle-Aquitaine Respectueux de son patrimoine matériel et soucieux du patrimoine de sa région, le lycée des métiers de Felletin entame donc une nouvelle mue lui permettant, à terme, de devenir une référence dans la rénovation et restauration d’édifices emblématiques et historiques. Le Lycée des métiers du bâtiments ambitionne de devenir le "lycée du futur" à Felletin Creuse Rien de plus normal pour un lycée de Creuse, territoire où sont nés bon nombre d’artisans, souvent maçons, dont le principal fait d’armes est d’avoir bâti certaines merveilles architecturales des plus grandes villes de France durant plusieurs siècles. C’est ainsi la transmission d’un autre patrimoine et celui-ci est culturel. Photos Bruno Barlier Texte Alix Vermande

Dansle cadre des cours de géographie sur les métropoles, les élèves de 6ème ont imaginé la ville de demain en produisant des maquettes et en respectant certains critères Voici un extrait du projet interdisciplinaire Vers une mobilité responsable » réalisé en partenariat avec Renault. À réaliser avec vos élèves ! Cette activité permet d’imaginer la ville de demain. Pour obtenir les documents associés à cette activité, ou découvrir l’ensemble du projet, rendez-vous sur WebPédago, notre plateforme gratuite. Activité pédagogique Repères pour l’enseignant Ancrages programmes Français 5e – Imaginer des univers nouveaux ; 4e – La ville, lieu de tous les possibles ? – Compétence du programme Adopter des stratégies et des procédures d’écriture. Objectifs Étudier un texte descriptif. Pratiquer l’écriture d’invention. Travailler au brouillon. Rendu Texte descriptif de la ville de demain et de ses transports. Consigne pour l’élève Au cours de cette étape, tu vas être amenée à réaliser une bande dessinée sur le thème de la ville du futur, une ville idéale, dans laquelle les problèmes de transports évoqués auparavant dans ce projet auraient trouvé leurs solutions. Avant de te lancer, tu vas étudier un extrait de roman d’anticipation dans lequel le narrateur imagine une ville futuriste. Mais au fait, qu’est-ce qu’un roman d’anticipation ? Essaye de le définir avec tes camarades de classe. Quel autre nom donne-t-on aux romans d’anticipation de nos jours ? 1. Lis bien attentivement la description du Paris idéal vu par Louis-Sébastien Mercier dans L’An 2440, et réponds aux questions avec un camarade de classe. Mettez ensuite vos réponses en commun avec le reste de la classe. 2. À ton tour d’imaginer la ville du futur à travers un texte descriptif. Pour que le lecteur puisse la percevoir au mieux, une description sensorielle est requise c’est-à-dire que ta description devra permettre aux lecteurs d’en voir les détails, d’imaginer les odeurs et les bruits de la ville. Réponds aux questions de l’exercice La description sensorielle de ma ville » avant de te lancer dans la rédaction de ton texte elles t’aideront à imaginer ta ville. [button-green url= » » target= »_blank » position= »left »]Découvrir l’ensemble du projet et télécharger les ressources ![/button-green] julie
Uneville qui s'inspire de la nature. Bienvenue dans la ville de demain! Du 16 au 23 mai 2014 à l'Onde, Théâtre Centre d'Arts de Vélizy-Villacoublay : « Ville biomimétique, ville de demain » À l'heure où l'urbanisation cristallise les défis environnementaux et où s'effectue une prise de conscience de plus en plus aiguë des impacts, du poids et du rôle de nos cités, les villes se
En termes de mobilité et de déplacement, il y a peu de certitudes quant à ce que nous réserve le futur. Si certains projets sont assez improbables, certaines possibilités de développement sont pourtant sont déjà en cours d’élaboration. Du véhicule autonome aux véhicules individuels électriques, compacts et légers en passant par des transports en commun plus rapides et plus sains, focus sur les moyens de transport du futur. Des moyens de transports plus rapides Toujours plus vite. Voyager ou se déplacer le plus rapidement possible est une préoccupation majeure du transport. De nombreuses recherches ont été menées dans ce sens pour développer des moyens de transport toujours plus efficaces, c’est à-dire raccourcir les distances et offrir un rayon de mobilité toujours plus grand aux usagers . Cependant avec les contraintes économiques et la nécessité de réduire la consommation énergétique, un nouvel impératif est né aller plus vite tout en consommant moins. De quoi donner du fil à retordre aux ingénieurs en charge des projets qui ont dû faire preuve de beaucoup d’imagination. Vers une automatisation de la voiture S’il y a quelques années, la voiture autonome relevait encore de la science-fiction, les chercheurs pourraient bientôt rendre cela réalité. De nombreux moyens de transport sont en effet de nos jours déjà fortement automatisés. Dans les avions, l’automatisme à travers le pilotage automatique a amélioré la circulation aérienne. Les chercheurs travaillent justement sur l’arrivée d’une voiture autonome capable de transporter son passager efficacement sur la route et en toute sécurité. Plusieurs risques humains seraient ainsi écartés comme la somnolence. Il faudra cependant que la législation le permette. Pour une transition pas à pas, il serait envisagé d’utiliser d’abord ces voitures autonomes sur voie rapide et dans les parkings. Le train à sustentation magnétique Moins gourmand en énergie, le train à sustentation magnétique garantit une consommation d’énergie réduite grâce à l’absence de frottements sur les rails et l’utilisation d’aimants pour le maintenir en suspension. Un déploiement important de ce nouveau type de train est prévu. Au Japon, plusieurs lignes fonctionnent déjà. Le projet Hyperloop Le projet Hyperloop est également considéré comme des plus intéressants. Toujours pour plus de vitesse et moins de consommation, il s’affranchit de la résistance de l’air en évoluant dans des tubes sous vide. Ce train pourrait ainsi être capable d’atteindre les 1300 km/h. Un record de vitesse dont nous pourrions très prochainement profiter, des essais étant déjà à l’étude. Le projet SkyTran la lévitation magnétique Des véhicules qui volent ? Le fantasme ultime de l’an 2000 est actuellement étudiée par la NASA via le projet SkyTran. Il s’agit de l’adaptation urbaine de la lévitation magnétique via l’usage de petites capsules perchées sur des rails placés à 6m du sol. Cette voiture sans roues atteindrait jusqu’à 70km/h et servirait principalement à désengorger le trafic en ville. Le 3D Express Coach, le bus qui enjambe la route Fini le bus traditionnel. Il se pourrait qu’on assiste bientôt à l’installation du bus 3D Express Coach. Ce projet venu de Chine a pour ambition de créer un bus qui circulerait, sur rails, au-dessus de la chaussée en surpassant les automobiles situées sur les deux voies. Ainsi, plus de problèmes de circulation et plus besoin de créer des voies dédiées aux autocars. Les solutions durables classiques Simples et déjà existants, le vélo et la voiture électrique restent des moyens traditionnels d’être efficace, écologique et économe. Ayant fait face à une longue période d’absence dans les villes européennes à partir des années 60, la petite reine est aujourd’hui sur le devant de scène ; avec en bonus, son lot d’innovations. Les vélos à assistance électrique envahissent progressivement nos villes. Tout comme les cycles connectés. Des projets dans ce sens sont développés comme Connected Cycle ou Smart Bike. Nos montures seraient ainsi capables non seulement de nous indiquer nos itinéraires, mais aussi d’être géo-localisés et d’échanger tout un tas de données avec nos différents appareils smartphones, ordinateurs, et même les futures voitures de demain. En attendant, vous pouvez toujours être connecté en utilisant votre téléphone ou votre GPS via votre vélo grâce au chargeur USB. Quant aux véhicules urbains de petite taille ou électriques, ils sont convoités par les constructeurs depuis une quinzaine d’années. Leur intérêt est de gagner en place stationnement tout en réduisant la pollution. En France, on connaît déjà la Renault Twizy. Le risque zéro n’existe pas Mais attention, l’idéal n’atteindra pas forcément la perfection. Une récente étude de l’UMTRI Université d’Institut de Recherches de Transport du Michigan affirme que même avec une voiture autonome, électrique ou connectée, les risques seront toujours présents. Il est évident qu’une voiture automatisée ne pourra pas toujours s’arrêter à temps face à une voiture dangereuse conduite par un humain ». De plus, en cas de problèmes mécaniques, des mains humaines resteront toujours nécessaires ». Source Mobilité Durable Post Views 28 829
accessibleset plus respectueux de la ville et de l’environnement.. 3 3e Le tramway d'aujourd'hui Le TFS ou Tramway Français Standard : - une rame de 29 mètres de longueur et 2,30 mètres de largeur - un plancher bas sur les deux tiers de la longueur - une capacité de 178 à 252 voyageurs pour 52 places assises Des problèmes de confort aux heures de pointe Des difficultés
Alstom fournira des trains X’trapolis plus intelligents et performants à la ville de Melbourne Un contrat d’un montant de 300 M€ pour 25 trains de banlieue X’trapolis de nouvelle génération Conçus et fabriqués dans l’État de Victoria, en Australie, les trains seront composés au moins à 60 % de matériaux locaux 20 septembre 2021 – Suite aux annonces budgétaires du gouvernement de l’État de Victoria le 18 mai dernier, Alstom a signé un contrat d'un montant de 300 M€ avec le Département des Transports DoT de Victoria pour fournir localement 25 trains X’trapolis composés de six voitures destinées au réseau de banlieue de Melbourne. Le contrat fait suite à un vaste processus de conception interactif mené avec le DoT sur une période de deux ans dans le but de concevoir et de fabriquer un système de matériel roulant parfaitement compatible avec l'infrastructure ferroviaire de Melbourne. La nouvelle génération X’trapolis permettra d’accroître la capacité du réseau sans qu’il soit nécessaire de procéder à des modernisations substantielles et coûteuses de l’infrastructure et de l’alimentation électrique. Conformément à la stratégie d’Alstom visant une mobilité plus verte et plus durable, les nouveaux trains seront plus accessibles, plus fiables et plus économes en énergie. Les trains, qui seront fabriqués à Victoria et composés au moins à 60 % de matériaux locaux, stimuleront l’industrie de la construction de matériels roulants de l’État, assurant ainsi l’avenir du site Alstom de Ballarat, et ouvriront la voie à des opportunités d’embauche nouvelles et durables dans le secteur, avec notamment de multiples postes de stagiaires et d’apprentis. Selon Mark Coxon, Directeur général d’Alstom Australie et Nouvelle-Zélande Alstom est ravi de poursuivre son partenariat avec le gouvernement de Victoria et la chaîne d’approvisionnement locale grâce à laquelle nous continuerons à fabriquer des trains pour Victoria à Victoria. Après avoir fourni à Melbourne ses trains les plus fiables ces vingt dernières années grâce à notre site de Ballarat, nous avons maintenant hâte de travailler avec l'État de Victoria et avec l’ensemble de nos partenaires locaux pour livrer la nouvelle génération de trains X’trapolis, et créer ainsi une nouvelle référence pour les usagers des transports ferroviaires de Melbourne et Victoria ». Alstom est ravi de poursuivre son partenariat avec le gouvernement de Victoria et la chaîne d’approvisionnement locale grâce à laquelle nous continuerons à fabriquer des trains pour Victoria à Victoria ». Directeur général d’Alstom Australie et Nouvelle-Zélande La nouvelle génération de trains X’trapolis bénéficie des principaux atouts des actuels X’trapolis qui en ont fait la flotte la plus fiable du réseau de Melbourne. Le nouveau design proposé améliore les éléments existants en les dotant de technologies très récentes qui ont fait leurs preuves en service. Le nouveau train, qui pourra transporter plus de 1 240 passagers, sera construit conformément aux derniers standards internationaux et australiens, en mettant l’accent tout particulièrement sur l’accessibilité et l’efficacité. L’arrivée des nouveaux trains compensera le retrait progressif de la flotte Comeng les trains les plus anciens du réseau, les nouveaux trains devant desservir certaines des banlieues les plus dynamiques de Melbourne sur les lignes Craigieburn, Upfield et Frankston. Les trains intègreront les flottes de matériels roulants déjà conséquentes d’Alstom à Victoria, celles-ci comprenant 141 tramways ou véhicules légers sur rail Flexity et Citadis, 106 trains de banlieue X’trapolis et 88 trains régionaux Vlocity. contrat avec le Département des Transports DoT de Victoria 25 trains de banlieue X’Trapolis de nouvelle génération 60 % de matériaux locaux pour la livraison des trains Une maquette pour les consultations avec les parties prenantes devrait être prête l’an prochain, le lancement de la fabrication étant prévu pour la fin 2022. Alstom fournit des solutions d'infrastructures durables à l’Australie depuis plus d’un siècle et, dans le pays, est le seul fabricant complet de trains et tramways. Aujourd'hui, Alstom emploie approximativement 1 650 collaborateurs sur plus de 20 sites comprenant des centres d'ingénierie, des installations de fabrication, des bureaux d'exécution de projets ainsi que des dépôts et ateliers de maintenance. Alstom s’engage à soutenir les marchés ferroviaires de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande à travers l’application de technologies récentes, innovantes et éprouvées qui sont conçues pour apporter à nos clients un coût de cycle de vie optimal tout en offrant aux passagers une meilleure expérience sans interruption. AlstomTM, X’trapolisTM, FlexityTM, CitadisTM et VLocityTM sont des marques déposées du Groupe Alstom.
Propositionde maquette pédagogique de l’École de Chaillot. Pour 4 modules complémentaires à la carte . Formation des Chefs de projet Petites Villes de Demain « R. evitalisation d. es petites villes Patrimoniales » Certification École de Chaillot / Petites Villes de Demain - formation continue. Exemple de l’une des 100 villes du corpus Petites Villes de Demain étudiée par l
Nous avons conçu cette séquence de trois heures avec ma collègue d’histoire-géographie en nous appuyant sur les techniques de créativité développées en formation pour adultes dans l’Académie de Toulouse par Anne Delannoy _AnneDelannoy et Florence Canet Canet_Flo notamment dans le cadre des Hackathons pédagogiques. Pour ce travail d’invention imaginer la ville de demain, la difficulté était en effet de guider la pensée créative des élèves pour leur permettre dans un premier temps d’investir l’imaginaire par une pensée très ouverte dans un second temps de guider cette pensée dans un projet réaliste et qui réponde à des solutions par rapport aux problèmes actuels des grandes villes. Ce travail sur la ville de demain » est au programme de géographie de sixième et fait suite au travail de ma collègue sur les difficultés des villes actuelles. En cours de géographie, nos élèves cinq classes, 150 élèves avaient étudié en détail les cas de Paris et Mumbaï. 1. Proposer une multitude d’idées Dans un premier temps, nous avons constitué des groupes de quatre élèves. Nous sommes revenus collectivement sur les grands problèmes actuels des villes se loger, se déplacer, la pollution. Puis nous avons demandé aux élèves, en groupe, de proposer trois idées d’invention pour les villes de 2070. Nous avons noté les idées au tableau sur une carte mentale organisée ainsi en quatre branches principales se loger se déplacer produire des ressources s’informer, communiquer, se divertir Après cette séance, nous avons construit une carte avec les idées de toutes les classes. Voici ce que cela donnait carte collective sur la ville de demain 2. Le choix d’une idée par groupe Nous avons proposé à chaque élève la carte collective imprimée au format A3. Pour permettre aux groupes de choisir une idée sans que les élèves s’influencent entre eux, nous leur avons demandé une lecture silencieuse et individuelle. Nous leur avons ensuite distribué deux gommettes, une verte et une noire. Sur une carte commune au groupe chaque élève a pu coller une gommette verte idée préférée, équivalent à 2 points et une gommette noire deuxième idée préférée, équivalent à 1 point. Les élèves ont ensuite compté le nombre de points par idée pour déterminer leur idée préférée. En cas d’égalité des points entre deux idées, nous leur avons proposé, lorsque cela était possible, de rapprocher les deux idées. 3. Premier développement de l’idée Pour cette phase, nous avions besoin d’aider les élèves à approfondir leur idée. Chaque groupe devait remplir une fiche pour son idée la formulation principale de l’idée les élèves étaient autorisés à transformer l’idée telle qu’ils l’avaient lue sur la carte collective la colonne consacrée aux aspects positifs de l’idée ce qui nous plaît à priori – trouver au moins trois raisons la fiche passait ensuite dans les mains d’un autre groupe qui devait se faire l’avocat du diable » ces élèves notaient dans la deuxième colonne les points potentiellement négatifs, les problèmes ou les incompréhensions sur cette idée. Enfin, chaque groupe a repris sa fiche avec pour mission de trouver une solution à chaque problème posé par le groupe correcteur et la noter dans la troisième colonne. Pour les aider lors de ce travail, nous leur avons donné à lire une sélection d’articles sur le sujet. Voici le tableau que nous leur avons donné Cette méthode d’écriture s’est avérée très efficace pour permettre aux groupes d’approfondir leur idée. 4. Penser une utilisation intelligente et bénéfique des outils numériques En début de troisième séance nous avons demandé à chaque groupe de prendre dix minutes pour réfléchir à la conception d’outils connectées ou d’applications qui pourraient servir leur idée. 5. Travail d’écriture final Pour ce travail d’écriture nous souhaitions que chaque élève participe et s’implique. C’est pourquoi nous avons divisé la tâche en quatre sous-tâches en donnant des rôles à chacun. Pour cela nous avons imaginé un scénario les élèves devaient convaincre un tiers municipalité, gouvernent, entreprise de développer et adopter leur idée pour une ville. Pour présenter leur projet, chaque élève avait un rôle spécifique Le vendeur » devait présenter l’idée le plus clairement possible Le solutionneur » devait expliquer en quoi cette idée résolvait un problème actuel des villes Le geeck » devait présenter une utilisation intelligente ou bénéfique des outils connectés pour faire fonctionner le projet Le visionnaire » devait décrire un ou deux moments de la vie quotidienne du futur qui serait différent d’aujourd’hui Nous leur avons distribué la fiche suivante, préalablement découpée en quatre parties. Chacun a rédigé deux à trois phrases. Puis les élèves ont passé leur travail à leur voisin de gauche pour corrections éventuelles d’orthographe et de syntaxe. Enfin, nous avons redistribué les quatre parties pour un recopiage au propre. Pour terminer les élèves ont recollé les quatre parties sur une feuille A4 blanche qu’ils nous ont rendue. Le déroulé de ces trois heures fois cinq classes s’est avéré très efficace pour permettre aux élèves d’entrer dans l’imagination d’un monde plus écologique et utilisant les nouvelles technologies dans un souci de bien être collectif. Je métais heurtée à plusieurs reprise dans ma carrière à cette difficulté de faire imaginer les élèves ; les techniques d’invitation à la créativité et de travail en groupe utilisée dans ce déroulé se sont avéré très efficaces. Un seul élève, sur les 150, n’est pas totalement entré dans l’activité, et pour des raisons indépendantes à l’activité elle-même. Les compétences travaillées dans ce projet sont l’explicitation d’un problème actuel des villes et la capacité à y apporter des solutions par un travail d’imagination l’engagement personnel dans ce travail d’anticipation ainsi que son articulation avec le travail de groupe acceptation des arguments des camarades, des critiques, prise en compte de ces critiques pour faire évoluer le projet la capacité à mener une réflexion sur la question de la connexion et des objets connectés comment pourrions-nous les utiliser à l’avenir pour les mettre au service d’un bien être collectif ? Par là nous interrogeons la place idéalisée ! de chacun dans une culture de la participation. des compétences d’écriture collectives pour que le projet soit correctement explicité dans la production finale. A la réflexion, avec ma collègue, nous pensons que nous aurions pu travailler plutôt en direction d’une production orale cela aurait permis à chaque groupe de rendre compte à la classe de son projet abouti. Pour continuer ce projet, les élèves vont réaliser des maquettes de villes en cours d’Arts Plastiques. Par ailleurs j’ai demandé aux élèves volontaires de travailler avec moi sur le temps qu’ils ont de libre entre 13 heures et 14 heures. Nous allons publier nos propositions pour la ville de demain sur une interface un site avec wordpress ou un prezi mêlant dessins, photographies des maquettes, textes explicatifs et vidéos de présentation. J’ai 32 volontaires pour ce travail-là. Travailler sur l’imaginaire interroge sans doute aussi le rapport de chacun de nos élèves au pouvoir qu’il s’accorde sur sa vie, son avenir. Leur permettre, voir les obliger, à se projeter ainsi a pour but de développer chez eux un "pouvoir d’action" sur le monde. Pour compléter cette approche, on peut lire la description de l’exposition toulousaine qui commencera la 7 février au Quai des savoirs Inventez la Ville... dont vous êtes le héros Comment utiliser le numérique pour bâtir la ville de demain Celui-ci précise aussi l’importance de la gestion des documents de chantiers et de la gestion des plans : « Avoir une maquette numérique en plan 2D permettrait de mettre l’accent sur des zones ayant des spécificités. » Le numérique doit aussi permettre de faire optimalement communiquer les Posez une question Pour pouvoir poser une question, vous devez souscrire à un abonnement familial. Découvrir l'offre Toutes les questions de parents Pour pouvoir accéder à toutes les questions de parents, vous devez souscrire à un abonnement familial. Découvrir l'offre Géographie Plus de la moitié de l’humanité vit en ville et le mode de vie urbain recouvre des réalités très différentes. Dans le deuxième chapitre sur La ville de demain », le professeur entraîne ses élèves à imaginer la ville du futur comment s’y déplacer ? Quels types d’habitats ? Comment intégrer le développement durable pour aménager des villes durables » ? Comment faire cohabiter des populations différentes ? Les élèves doivent s’imaginer la métropole la plus proche de chez eux dans 20 ans et la façon dont ils l’ professeur peut s’appuyer sur plusieurs exemples concrets comme les écoquartiers Bedzed en Angleterre ou le Millenium Village au Royaume-Uni ou le projet Lilypad au large de Monaco. Vous trouverez ici d'autres projets de cités du futur et ici des réalisations d'élèves sous forme de cartographies imaginaires. Un travail magnifique. Ce chapitre peut aussi se prêter à une approche pluridisciplinaire avec la SVT ou la technologie par exemple…Retrouvez tout le programme de géographie ici. 9bZp.
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  • comment faire une maquette de la ville de demain